Depuis ce matin, l'Office de tourisme accueille une exposition de photos de Pascal Brunelli.
Ce qui frappe le visiteur de premier abord, c'est la grande variété des sujets traités par le photographe. Le titre
« Explosition » confirme ce parti pris de ne pas faire de choix et de proposer au regard une très large palette d'images, reflets de multiples centres d'intérêt. Avec une sensibilité artistique formée à l'École des Beaux Arts, Pascal Brunelli puise aussi bien dans ses (rares) moments de loisirs que dans les opportunités que lui offre sa profession de chasseur d'images pour prendre toute photo lui paraissant digne d'intérêt. Et l'infographiste chevronné qu'il est prend le relais pour « développer » ses photos sur son ordinateur. Mais si pour lui Photoshop remplace l'agrandisseur et les bacs de la chambre noire chère aux photographes argentiques, le procédé est rigoureusement le même : il s'agit de révéler la vérité intrinsèque de l'image sans en modifier le moindre trait. Le résultat provoque les mêmes enthousiasmes, la même émotion que les plus belles photos issues du procédé analogique, comme par exemple ces reflets d'eau chatoyant sur le pavé d'un lavoir, ou ce paysage ordonné qui s'étale au-delà d'un clocher imposant sa présence au premier plan. Qu'il s'agisse d'une pose prolongée avec un long temps d'exposition ou d'un cliché arraché dans l'urgence d'une action rapide, rien ne semble rebuter ce photographe averti.
« Explosition » confirme ce parti pris de ne pas faire de choix et de proposer au regard une très large palette d'images, reflets de multiples centres d'intérêt. Avec une sensibilité artistique formée à l'École des Beaux Arts, Pascal Brunelli puise aussi bien dans ses (rares) moments de loisirs que dans les opportunités que lui offre sa profession de chasseur d'images pour prendre toute photo lui paraissant digne d'intérêt. Et l'infographiste chevronné qu'il est prend le relais pour « développer » ses photos sur son ordinateur. Mais si pour lui Photoshop remplace l'agrandisseur et les bacs de la chambre noire chère aux photographes argentiques, le procédé est rigoureusement le même : il s'agit de révéler la vérité intrinsèque de l'image sans en modifier le moindre trait. Le résultat provoque les mêmes enthousiasmes, la même émotion que les plus belles photos issues du procédé analogique, comme par exemple ces reflets d'eau chatoyant sur le pavé d'un lavoir, ou ce paysage ordonné qui s'étale au-delà d'un clocher imposant sa présence au premier plan. Qu'il s'agisse d'une pose prolongée avec un long temps d'exposition ou d'un cliché arraché dans l'urgence d'une action rapide, rien ne semble rebuter ce photographe averti.
Mais on ne peut pas non plus passer à côté de l'humour du rédacteur du Point Com, souvent à fleur d'image, comme avec cette colonne de boys scouts en uniforme défilant devant une boutique de matériel informatique.
L'exposition révèle bien d'autres surprises qu'il faut absolument aller découvrir à l'Office de tourisme, jusqu'à la fin du mois.